" The Seed of Action"

1. Depuis le début des années 2 000, l’Afrique enregistre une amélioration quant à l’accès aux prestations de santé maternelle et reproductive. La Côte d’Ivoire compte parmi les pays ayant un taux de mortalité maternelle les plus élevés au monde, s’élevant en 2015, à 645 décès pour 100 000 naissances vivantes. 20,2% des filles (13,8% chez les garçons) de 15 à 24 ans ont eu leur premier rapport sexuel avant d’atteindre l’âge de 15 ans. Parmi les jeunes sexuellement actifs, 61,2% des filles de 15 –24 ans n’utilisent pas couramment de méthode contraceptive. Et 20,2% des filles (13,8% chez les garçons) de 15 à 24 ans ont eu leur premier rapport sexuel avant d’atteindre l’âge de 15 ans. Parmi les jeunes sexuellement actifs, 61,2% des filles de 15 –24 ans n’utilisent pas couramment de méthode contraceptive. Mais les progrès restent à consolider et accélérer pour que les droits et la santé sexuels et reproductifs deviennent une réalité

Afin d’atteindre d’ici à 2030 l’objectif de développement durable 3, qui fixe le taux mondial à 70 pour 100 000 naissances vivantes, de nombreux efforts restent encore à faire concernant l’information et l’accès aux soins de santé sexuelle et de reproduction en Côte d’Ivoire et en particulier pour les jeunes dans le district d’Abidjan.

Les  enseignements tirés des actions et échanges avec nos partenaires locaux et communautaires, la présente initiative nous a permis d’identifier différents embryons stratégiques et répondre à plusieurs problématiques :

1. Lutte contre les grossesses précoces et/ou non désirées,  VIH et autres IST, recrutement et formation du personnel, amélioration de l'accès et de la qualité des soins, sensibilisation;

2. Éducation sexuelle, moyens de contraception pour prévenir les grossesses précoces, accompagnement des jeunes filles enceintes;

3. Éducation, Information, Communication (EIC) sur la SDSR;

4. Renforcement du programme d'éducation sexuelle scolaire et extra-scolaire, campagne de sensibilisation au travers de campagnes de communication;

5. Sensibilisation-prévention du viol et autre VBG, prise en charge de la victime;

6. Accès aux préservatifs et aux médicaments;

7. Soutien psycho-social avec formation des professionnels;

8. Sensibilisation, modification législatives et autonomisation des femmes et des filles.

Pour mener à bien notre projet et atteindre des objectifs suffisamment larges pour avoir un impact systémique sur tout le système, les efforts se concentreront davantage sur les aspects suivants : 

• Augmenter l’Information, la sensibilisation et éducation des populations (en particulier  les jeunes filles et garçons) afin de promouvoir l’éducation aux droits et l’accès aux services de soins et de santé sexuelle et de reproduction auprès des adolescent (e)s et jeunes femmes (14 à 35 ans) :  il s’agira ici grâce aux supports audio-visuels appropriés produits et à travers divers canaux dont les réunions communautaires, un service mobile de sensibilisation des populations aux bonnes pratiques en matière de SDSR, la production et la diffusion des émissions radiophoniques interactives, l’organisation des représentations théâtrales et sportives, des spots télé;
• Campagnes de communication via différents canaux (réseaux sociaux, médias : télévision, radio, affichages, réalisation d'un livret et d'un film sur les risques de SSR-VBG et leurs conséquences...) sur les violences sexuelles et collectives et sur les risques liés à la prostitution, ainsi que sur les structures de santé existantes et le circuit de prise en charge);        
• Renforcement du programme d'éducation sexuelle scolaire et extra-scolaire, campagne de sensibilisation au travers de campagnes de communication ;
• Livrer une série radiophonique  et des représentations théâtrales dans les communautés;
• Fournir une formation aux pairs éducateurs/points focaux (fommes et femmes) communautaires prévention-santé qui seront identifiés par des personnes beaucoup écoutées dans les quartiers/communautés;
• Fournir une formation aux stations radios/ diffuseurs
• Redynamisation et restructuration des Comités d’Animation, comités de Gestion de Santé (COGES) et les groupes d’écoute communautaire.      Pour se faire, nous avons orienté notre logique d’intervention suivant 3 axes :                                                                                                  A.    AMELIORER LA SSR ET LE WASH                                               Compte tenu de nos constats, notre premier axe est l’amélioration de la prise en charge et de l’accompagnement des victimes. Les résultats à produire sont les suivants :                                                            Résultat 1 : L’accès gratuit à la santé est garanti pour les soins de santé primaires,psychologique et de SSR pour les jeunes victimes de viol et autres violences sexuelles;                                                             Résultat 2 : Plaidoyer pour le développement d’un nouveau service destiné à la formation de plus d’Agents de Santé communautaires pour le suivi des grossesses et la planification familiale chez les adolescents et les jeunes femmes ;

      B.    AGIR POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENTS
Notre second axe se concentrera sur la prévention auprès de la population afin d’amener à un changement de mentalité et d’attitudes dans le but de réduire les grossesses précoces et/ou non désirées, les VIH/IST et violences basées sur le genre et plus généralement de réduire les inégalités basées sur le genre en Côte d’Ivoire. Le résultat attendu est:

Résultat 3 : La population du district d'Abidjan est sensibilisée sur l’accès aux droits et soins de santé et de reproductions et sur les  violences sexuelles et les risques qui y sont liés;

     C.    FAVORISER L'AUTONOMISATION DES FILLES ET DES JEUNES FEMMES   

Résultat 4 : Les jeunes filles victimes de grossesses précoces et de viol bénéficient d'une réinsertion socio-économique et scolaire.

La cible du projet sera les jeunes femmes et les adolescentes.

1. Bénéficiaires directs                          

Ce projet profitera à 12000 adolescentes (14-24 ans) et plus de 7500 jeunes femmes et hommes (25-35 ans) qui sont scolarisés ou non (élèves et analphabètes) dans les quartiers du district d’Abidjan en côte d’Ivoire. Un accent particulier sera mis sur cell(e)s qui sont marginalisés sur le plan socio-économique, vulnérables et ont un faible niveau d’éducation.

Plus de 50 responsables gouvernementaux et d’autres ministères concernées (santé, éducation, affaires sociales) et leurs agences, plus de 1000 pair-éducateurs/points focaux  (y compris les animateurs en alphabétisation, des radiodiffuseurs, associations de jeunes, des enseignants principaux bénéficieront également des programmes de sensibilisations, d’orientation et de formations du projet.                                                                             Le projet permettra aussi de créer une masse critique, à travers le renforcement des capacités pour défendre l’importance de l’accès des filles à l’éducation de qualité,  l’éducation sexuelle et génésique et l’égalité des sexes. 

2. Bénéficiaires indirects

L'autonomisation des filles par l'éducation contribue fortement à l'émancipation du groupe social auquel elles appartiennent. Les premiers bénéficiaires indirects sont leurs communautés. Les femmes jouent un role crucial dans les régions dans lesquelles elles vivent. Leur accès à l'éducation est une chance de développement économique pour leurs localités.

En outre, le Gouvernement en sa qualité d'organisme de renforcement des capacités, encouragera ses différents ministres à mettre en place une institution trasversale en charge decapaciter des jeunes femmes et filles.

Les canaux de distribition tels que les radios, les centres mutlmédia communautaires, les représentations théatrales, les réseaux sociaux... pour diffuserdes émissions et mener des activités de sensibilisation pour montrer à la population les initiatives ou les mesures mises en oeuvre dans le cadre de ce projet.

Le personnel de santé, les ONG nationales et internationales, les associations de parents d'élèves, les mères des élèves, le comité de gestion de santé et d'école, les réseaux communautaires ... seront indirectement mobilisés pour améliorer la qualté de l'éducation, de la santé, et des services sociaux destinés aux adolescentes et aux jeunes femmes sur la base de la promotion des avantages de la Santé Sexuelle et Reproductive.

Ce projet mobilisera également différents segments de la société (médias, influenceurs traditionnels, religieux) dans le but de les mettre efficacement en œuvre. 

Le projet va intégrer les spécificités culturelles et religieuses, de sorte qu’il soit plus facilement accepté par la communauté locale, parce qu’il cible davantage les jeunes femmes et les adolescents qui ont des rôles qui sont profondément enracinées dans le tissu de la société elle-même.  Toutes ces actions combinés sont destinées à :   

-   Une appropriation de la thématique de la SDSR par les adolescents et jeunes femmes ;

-   La diversification des campagnes de communication sur l’accès  à l’offre et aux services existants en matière de SDSR ;

-    Réduction du  taux de grossesses précoces et non désirées, la diminution des IST/Sida chez les populations cibles ;

-   Les Plaidoyers pour le renforcement du déploiement des cliniques mobiles  et l'accompagnement des victimes de viol dans les communautés. 

Le projet sera mis en œuvre en étroite collaboration avec les organisations partenaires :

·         Nationaux (Les ministères concernés : santé, et hygiène publique, ministère de la promotion de la Femme, de l’Enfant et de la famille….) et  ·         Infranationaux (radios communautaires, associations de jeunes, comité de santé, comité d’école, Centres et associations de santé communautaires, centre de santé, conseils de village, les centre d’aptitudes pédagogiques, les organisations de la Société civile. 

Dans l’objectif de couvrir le maximum de besoins, le projet qui couvre une période de 12 mois, sera géré  ISED  et bénéficiera  de l’appui de l'UNFPA avec une contribution de ISED. Le bureau national ISED  Abidjan jouera un rôle important dans le suivi des opérations, les aspects administratifs et financiers.

La gestion du projet se fera grâce à une équipe constituée de:

* Coordinatrice du projet, spécialiste en genre: avec + de 10 d'années d'éxpérience

* un chef d’équipe, spécialiste Santé communautaire: 07 ans d'éxpérience:

* 05 superviseurs santé.

Le personnel de soutien sera constitué d’Assistant Administratif (100%), Administration & Finance Officer, opérations manager, chef   de Mission.

  En outre, ISED propose de renforcer sa présence opérationnelle aux côtés de ses partenaires locaux dans les localités de mise en œuvre par le biais des assistants sociologues. ISED va également renforcer ses centres d’écoute pour qu’ils puissent jouer le rôle de sous bureaux de terrain avancés et ainsi renforcer la protection par sa présence

L’initiative va reposer sur une fiction radiophonique et théâtrale dans le but  d’encourager les associations de jeunes et jeunes femmes à fonctionner comme des groupes/clubs d’écoute afin d’améliorer l’accès aux programmes de Santé sexuelle et de reproduction  et à donner le temps d’écouter et discuter en groupe. Les parents, les responsables locaux, les communautés et les décideurs seront également à suivre les communications et participer aux discussions interactives, car leur implication est la clé du succès dans le changement de conscience. C’est ainsi que :

• Le lancement et diffusion d’émissions radiophoniques interactives
• L’optimisation de l'application mobile / site internet axé sur la risques et les informations utiles
• Les groupes d’écoute et de discussions
• Campagne de communication via différents canaux (réseaux sociaux, médias : radio, affichage, réalisation d'un livret et d'un film sur les risques et leurs conséquences...) sur les violences sexuelles et collectives et sur les risques liés à la prostitution

Des actions visant à promouvoir et à faire connaitre les programmes et les services de SDSR  en se mobilisant auprès des associations/groupes de femmes, de femmes, des dirigeants communautaires et par l’entremise des médias sociaux ou de téléphones mobiles. Les stations de radio utiliseront des jingles ou des fictions et utiliseront des incitations pour promouvoir la participation (par exemple, de petites quantités de temps d’antennes par les téléphones mobiles).

Aujourd’hui les jeunes ont accès à internet et ont un téléphone. L'optimisation du site internet et de l’application mobile permettront d’aborder les nombreuses thématiques liées à la santé sexuelle et reproductive, d’avoir des informations utiles, de sensibiliser et de permettre au public de soumettre leurs interrogations par rapport aux différents thématiques traitées. Cela permettra de cibler un maximum de jeunes et d’être accessible également pour les femmes, les victimes, les témoins et les professionnels.

Pour les groupes vulnérables  et isolés, le projet pourrait fournir à chaque groupe un poste de radio, sur lequel une personne de référence pourrait enregistrer l’émission, et leur permettre d’écouter ensemble. Le projet pourrait également fournir des questions de discussion pour chaque programme, auxquels le groupe pourrait répondre pour le biais du système d’interactivité des partenaires. Les groupes de discussions pourront être animés par des agents de santé communautaires, des médecins spécialisés en SSR.

Pour les prochaines années, le projet prévoit atteindre les résultats suivants :

*  La diversification de la communication sur l’accès à l’éducation et la planification familiale comme un catalyseur essentiel pour les femmes sur le plan économique, l’autonomisation et l’augmentation des revenus des ménages;

* Parvenir à une approche à haut impact pour améliorer l’accès à la Planification Familiale (PF) dans le district d’Abidjan en Côte d’Ivoire à travers des campagnes de communication animés par les adolescentes et les jeunes femmes bénéficiaires du projet ;

*  Susciter une volonté personnelle plus élevée du taux des femmes et filles exprimant le souhait d’utiliser une méthode moderne de contraception au détriment des pesanteurs sociales et culturelles existantes dans leur milieu de vie ;

* Augmenter encore de 20% le taux de prévalence contraceptive (méthodes modernes)  pour atteindre les objectifs nationaux fixés;

Aujourd’hui les jeunes ont accès à internet et ont un téléphone. L'optimisation du site internet et de l’application mobile (création de contenu, mise à jour des données, traitement des demandes...) permettront d’aborder les nombreuses thématiques liées à la santé sexuelle et reproductive, d’avoir des informations utiles, de sensibiliser et de permettre au public de soumettre leurs interrogations par rapport aux différents sujets traités. C’est pourquoi, afin d’amener à un changement de mentalité et d’attitudes, de réduire les violences basées sur le genre et le taux de naissance chez les adolescentes dont l’âge est compris entre 14 et 19 ans, nous prévoyons améliorer leurs connaissances sur le paquet de services holistiques en santé sexuelle et de reproduction dans la ville d’Abidjan. Et pour cela,  nous proposons de mener  les actions principales suivantes :

-   La production et la diffusion d’émissions radiophoniques interactives;

-   Soutien pour l'optimisation de l'application mobile / site internet axé sur la prévention et les informations utiles déjà présente dans le pays et

-   Mener des campagnes de communication via différents canaux (réseaux sociaux, médias : télévision, radio, affichage, réalisation d'un livret et d'un film sur les VBG et leurs conséquences...) 

Toutes ces activités permettront de sensibiliser et d’informer les  adolescentes et les femmes, et le grand public sur les services offerts en matière de SDSR en Côte d’Ivoire, les  violences sexuelle et collective ainsi que sur les risques liés aux grosses précoces, à la prostitution. Différentes formes de canaux et de supports seront utilisées notamment les outils traditionnels tels que les campagnes d’affichage, spots TV et radio, mais aussi la réalisation d'un livret qui sera distribué au grand public et la réalisation d’un court métrage sur les violences basées sur le genre et leurs conséquences.

La gestion du projet se fera grâce à :

* Une Coordinatrice du projet, spécialiste en genre;

* Un chef d’équipe, spécialiste Santé communautaire;

* 05 superviseurs santé.

Le personnel de soutien sera constitué d’Assistant Administratif (100%), Administration & Finance Officer, opérations manager, chef   de Mission.

ISED, et ses partenaires locaux travailleront avec des stations radios et troupes (de jeunes) théâtrales et COGES pour sensibiliser la population et les décideurs sur les questions de SDSR  et contribuer à créer un environnement propice ou les filles et les garçons, les hommes et les femmes sont engagées de manière équitable. .

Le projet est une émanation des consultations et projets antérieurs mis en œuvre dans les communautés en faveur des associations de femmes et de jeunes.En effet, à la suite d’une collaboration et d’une évaluation antérieures de l’utilisation du théâtre, d'une application mobile et de la radio pour sensibiliser les populations.

Le projet va utiliser les enseignements tirés de l’exécution et des recommandations de ces derniers  et en fondant les éléments de théâtre  et de discussions sur les expériences communautaires. ISED va collaborer avec ses partenaires infranationaux et nationaux  pour sensibiliser de manière prioritaire sur la prévention et les informations utiles.

ISED et ses partenaires de mise en œuvre s’engagent à sensibiliser la population sur la problématique du genre en combattant toute forme de discrimination basé sur le genre, la race, la religion, le handicap ou la tribu.

Pour l’exécution du projet, il sera nécessaire de travailler en collaboration avec des Comités de Gestion de Santé (COGES), les pair-éducateurs, les comités de Violences Basées sur le Genre (VBG) et de protection et/ou des organisations opérationnelles en ressources humaines communautaires et locales tant en quantité qu’en qualité pour la pérennisation des activités et pour faire des plaidoyers. Les membres de ces comités seront choisis par la communauté. La participation des femmes  et des filles leur donnera la capacité de parler de protection de l’enfant, de violence sexuelle, d’éducation, de formation, de réinsertion socio-professionnelle, de bonnes pratiques familiales et faire des plaidoyers.

Les hommes représentant un pilier central de la famille et ayant une influence sur tous les aspects de la famille, avec un pouvoir de décision assez grand, nous proposons une implication de proximité des hommes dans l’animation des émissions radiophoniques interactives, les sensibilisations, des échanges éducatifs des jeunes filles et garçons. Cela pourrait avoir une influence positive sur la levée ou diminution de tabous. De ce fait, sous la directive des chefs traditionnels, des groupes d’hommes, des familles seront encouragés à prendre part aux activités offertes sur les plateformes du programme de prévention.

Les jeunes couples pourront également acquérir des connaissances qu’ils pourront par la suite mettre en application au niveau de leurs ménages respectifs.

Les activités de l’Organisation sont régulièrement mises en œuvre financièrement  de :

-   Des fonds propres de l’Organisation ;

-  Des réponses positives à des appels à projets suite au dépôt d’une demande de subventions  et enfin;

-  Notre réseau de donateurs

En outre, la création des campagnes innovantes et le plaidoyer qui seront adaptées aux besoins aussi bien aux communautés nationales que locales, et aux réseaux sociaux qui aborderont les avantages de l’éducation des adolescentes et jeunes femmes déscolarisées aux niveaux central, régional et communautaires  (écoles, chefs traditionnels, chefs religieux), afin de procéder à une enquête sur

ISED, comme la plupart des ONG, joue un rôle considérable pour remplir les missions d’intérêt général à l’échelle internationale, aussi, elles bénéficiede la générosité du public, des cotisations des membres, des dons et legs et les  banques.

Chaque projet nécessite de trouver des financements. Donc il faut trouver des Donateurs en créant un réseau.Nous  soumissons régulièrement aux demandes de subventions en lien avec nos thématiques de compétences, et ce en réponse à un ou plusieurs appels à projets. Par conséquent, nous rédigons régulièrement des propositions pour collecter des fonds pour mener à bien nos programmes.

Ensuite, nous contactons aussi souvent des associations proches de nos centres d’intérêt, de nos thématiques ;

Enfin, nous faisons des campagnes d’appels à dons de type crowdfunding.