GADMALI
Le mariage précoce ou forcé, une violence à l’égard des femmes et des filles reste encore par ignorance légitimé dans nos communautés qui impacte non seulement les femmes mais aussi la communauté et cela à différents niveaux : - éducationnel, le mariage précoce affecte le cursus scolaire qui se traduit par la déperdition scolaire.
- santé physique, il est établit que les complications liées aux grossesses, accouchements
- économique, le mariage précoce/forcé: Il ressort dans plus part des cas une incapacité de la fille d’entreprendre des activités génératrices de revenu.
La lutte contre ces fléaux est une préoccupation majeure de GadMali dans la protection, promotion des droits des femmes et des filles.
Le Project proposé est : Contribuer à améliorer les pratiques et la responsabilisation en faveur de la protection, promotion de leurs droits
Leurs droits socio-économiques, leur place dans la famille, les violences basées sur le genre est connue ici.
Le mariage est une institution légale connue de toutes les communautés au Mali et dans la sous-région Ouest Africaine. Le mariage par essence est un sacrilège, un acte de cohésion sociale, contracté par communautés qui le célèbre soit par des rites ancestrales ou religieux ignorant de fait l‘avis ou l'âge de la fille; d’où son caractère forcé ou précoce résultant d’une violation des droits humains spécifiquement ceux de l’enfant et de la fille entrainant des effets pervers sur le développement de la femme qui reste d’actualité dans notre société.
De toutes les études et analyses sur les causes profondes du mariage, nous notons entre autres celles liées : les causes socioculturelles, (renforcement des liens de parenté, d’amitié et de voisinage, la sauvegarde de la virginité de la fille et l’honneur de la famille, -la pauvreté, marquée par le besoin de disposer de la main d’œuvre, le désir effréné de disposer de moyens matériels et financiers. En effet nombre : 67001 personnes dont 5923 files de la tranche d’âge de 15 à 19 ans, 8710 femmes adultes entre 25 -49 ans et 2787 femmes de 20 à 24 ans
les filles (jusqu’à9ans), Adolescentes (de10à 19ans), Jeunes femmes (de20à 24ans)
Les jeunes de moins de 25 ans représentent 42 % de la population mondiale actuelle. La majorité d'entre eux vivent en Afrique, en Asie, en Amérique latine et dans les Caraïbes. En 2015, ces trois régions comptaient 2,8 milliards de personnes âgées de moins de 25 ans selon les Nations unies. En Afrique, 60 % de la population a moins de 25 ans. Cette population jeune qui constitue l’espoir pour l’amorce d’un développement durable est confrontée à d’énormes problèmes qui entravent son émergence, son autonomisation. Au nombre des problèmes nous citons le mariage précoce des filles qui constitue un réel frein à leur autonomisation. Au Mali, selon EDS V, 20% des filles maliennes sont mariées avant l’âge de 15ans et 50% avant l’âge de 18 ans ; 37% des femmes ont eu leur premier enfant avant l’âge de 18 ans ; 15% des décès maternels proviennent de chez les adolescentes. L’intervention ainsi proposée est une contribution de Gadmali aux efforts que gouvernement malien ne cesse de déployer avec ses partenaires au développement pour éradiquer ces violences dans 36 villages. .
Les droits socio-économiques des filles, des femmes, leur place dans la famille, les violences basées sur genre sont mieux connus.
- How can countries ensure that everyone—especially vulnerable and marginalized groups—are able to apply/register for an ID in a way that protects people’s health, data, and the integrity of the ID system?
La mobilisation sociale en faveur de la protection des droits à la santé et à l’éducation des jeunes filles : il s‘agira pour Gadmali et ses partenaires d’engager des actions d’information des communautés sur la santé reproductive et le droit reproductif sexuel des jeunes notamment des jeunes filles. Un accent particulier sera mis sur l’importance de la scolarisation des filles, facteur d’autonomisation. Ces mesures contribueront à augmenter le taux d’accès et d’utilisation des services de santé et surtout celui de la scolarisation des filles dans des zones qui peinent encore à faire face à ces défis.
- Scale: An individual or organization working in several locations and that is looking to scale significantly, focusing on increased efficiency.
- A new technology
Pour l’atteinte des objectifs procédera dans un premier temps à la mise en place d’une base de données en faisant l’état des lieux sur la pratique du mariage précoce, les connaissances et pratiques des différentes composantes de la santé reproductive, de violences basées sur le genre. Les résultats de l’étude permettront d’apprécier le niveau de connaissances des communautés et surtout les besoins en termes de renforcement de capacités des différents acteurs.
Activités et description des activités :
Les activités s’articulent autour de : - la mobilisation sociale en faveur de la protection des droits à la santé et à l’éducation des jeunes filles, l’organisation des campagnes d’IEC-CCC/dialogue communautaire, de plaidoyer, des émissions radiophoniques, -la célébration de journées commémoratives en faveur des femmes, le renforcement de capacités des bénéficiaires (OCB) et autresacteursclés, le renforcement du partenariat
Description
La mobilisation sociale en faveur de la protection des droits à la santé et à l’éducation des jeunes filles : il s‘agira pour le consortium et ses partenaires d’engager des actions d’information des communautés sur la santé reproductive et le droit reproductif sexuel des jeunes notamment des jeunes filles. Un accent particulier sera mis sur l’importance de la scolarisation des filles, facteur d’autonomisation. Ces mesures contribueront à augmenter le taux d’accès et d’utilisation des services de santé et surtout celui de la scolarisation des filles dans des zones qui peinent encore à faire face à ces défis.
Au Mali, parmi toutes les formes de violences faites aux femmes et aux filles, le mariage précoce/forcé demeure la plus ancrée et cruelle du fait des conséquences néfastes qu’elle engendre. C’est pourquoi, le Mali reste engagée comme beaucoup d’autres pays à l’atteinte des ODD gage de l’amélioration de meilleures conditions de vie recherchée. Malgré les efforts déployés pour l’amélioration santé de la reproduction et des droits reproductifs et sexuels des jeunes et des adolescents des efforts restent à fournir si l’on sait que 85% des femmes subissent encore la pratique de l’excision et que l’utilisationactuelle desméthodes decontraceptionmoderne est trèsfaible (9,9%) contre 15% attendus en 2018. Aussi en dépit de l’existence de la loi02-044relativeà la santé de la reproduction, promulguée le 24juin2002quimetenexerguelesdroitsdescouples et des individus en matière de santé de la reproduction, au Mali 55% des filles se marient avant l’âge de 18 ans et 10% des filles de 15 ans ont un enfant. Les défis portent entre autres surl’ignorance des formes de violences faites aux femmes, les arguties d’ordre culturel ou religieux invoquées par certains pour le maintien de l’excision, du mariage précoce, forcé qui sont des entraves à la promotion, protection des droits des femmes.
D’une façon globale l’intervention « lutte contre le mariage précoce et forcé des filles dans dix communes rurales dans la région de Koulikoro, République du Mali » est une contribution au Cadre Stratégique pour la Relance Economique et Le Développement Durable du Mali
- Artificial Intelligence / Machine Learning
- Audiovisual Media
- Behavioral Technology
- Big Data
- Biotechnology / Bioengineering
- Internet of Things
- Manufacturing Technology
- Materials Science
- Software and Mobile Applications
- Virtual Reality / Augmented Reality
Les stratégies utilisées sont celles participatives et communautaires qui mettent les bénéficiaires au centre des activités depuis l’identification des besoins, l’exécution et l’évaluation. L’approche impliquera les groupes communautaires les jeunes, les hommes, les leaders, les élus locaux qui participent aux côtés des femmes et des filles à la mise en œuvre des activités
Aussi sur la base de la participation, de l’apprentissage mutuel, la mise en relation, les différents acteurs parviendront à dégager des solutions consensuelles pour l’atteinte des résultats escomptés. Les actions de plaidoyer, de counseling, et surtout de renforcement de capacités organisationnelles; institutionnelles des comités de veilles au niveau village et commune contribueront à libérer le potentiel des femmes et des filles qui seront désormais les vraies actrices dans la défense de leurs droits et dans la lutte contre toutes formes de violences faites aux femmes et aux filles.
Les stratégies sont soutenues par les campagnes d'I EC et de plaidoyer, de mobilisation sociale, de renforcement de capacités sur les violences faites aux femmes et filles. En ciblant les élus locaux, les leaders communautaires, les groupements de femmes, de jeunes, les OCB (comités de veille), le projet contribuera à renforcer l’application des initiatives locales de protection des droits des femmes et des filles. Les mesures de plaidoyer participeront à une prise de conscience collective et individuelle des communautés sur la dimension genre. Elles permettront la prise en charge de la protection des droits des femmes et des filles dans les différents plans locaux de développement économique social et culturel (PDSEC) des communes partenaires. La signature de protocole de partenariat avec les centres de santé, l’unité de prise en charge holistique, la clinique juridique facilitera la prise en charge des survivantes et des cas de risques et une intégration des femmes et des filles dans le circuit économique.
La théorie du changement s’articulera autour de l’approche communautaire et vise à -(1) développer la réponse locale à la lutte contre les violences faites aux femmes, (2) mettre en place et former les organes communautaires d’alerte (les activistes) sur les violations des droits des femmes et des filles
les équipes techniques De GADMALI en collaboration avec les organes communautaires organiseront des séances de causeries éducatives, de dialogue communautaire sur les thématiques du projet ; les violences faites aux filles et aux femmes, les conséquences, les mesures des préventions.
Le plaidoyer : les actions de plaidoyers initiées à la base permettront aux décideurs, aux personnes influentes de faire une prise de conscience et surtout de positionner en faveur de la protection des droit des filles et la promotion des mesures contribuant à leur autonomisation (accès à la santé et à la scolarisation). Les actions de plaidoyer permettront de soutenir les initiatives visant à développer le potentiel entrepreneurial des filles et leur participation citoyenne
Organisation des émissions radiophoniques: elles sont des moyens privilégiés large diffusion des messages de qualité sur les violences faites aux filles notamment le mariage précoce, les meures contribuant à sa réduction- les rôles et responsabilités des acteurs etc. Les protocoles de collaboration seront signés avec les radios partenaires.
La célébration de journées commémoratives en faveur des femmes. Ces journées sont des espaces de réflexions communes de propositions de solutions locales adaptées entités ethniques ou sociales de la zone d’intervention.
Le renforcement de capacités des bénéficiaires (OCB) et autresacteursclés : Il est au cœur des mesures visant à asseoir une base de gestion durable. Les actions de formation faciliteront la mise à disposition de ressources humaines compétentes capables de jouer pleinement leurs rôles et responsabilités dans la lutte et de façon durable.
Mise en place des projets de formation des organes communautaires : elle consiste à identifier sur la base de critères partagés avec les communautés qui désigneront des personnes capables de jouer des rôles et faire fonctionner les comités villageois, communaux de veille /surveillance de la protection des droits des filles à la base. Les membres désignés seront formés, responsabilisés à cet effet.
Le renforcement du partenariat :
Le partenariat est le socle de la défense durable des droits des filles. Les acteurs clés, les parties prenantes seront liés par des protocoles de collaboration qui définiront leurs rôles et responsabilités.
La maîtrise des rôles et responsabilités et la bonne organisation des organes communautaires sont un gage du suivi et de la surveillance attentive des violences faites aux femmes et aux filles à la base et donc de pérennité des résultats atteints sur le long terme. Le suivi du respect des droits fondamentaux des femmes et des filles se traduira pour les bénéficiaires par une amélioration de leur statut socio-économique, sanitaire toute chose qui les incitera à adopter et transmettre des comportements et pratiques favorables. Pour assurer cette durabilité le projet mise sur : (1) la scolarisation des filles, l’alphabétisation, la formation des groupements de femmes et de filles et surtout le renforcement de capacités des organes communautaires comme (a) le comité local de défense et de protection des droits des femmes et des filles au niveau cercle,
Si les différentes actions menées ont permis d’amorcer un éveil de conscience individuel et collectif sur les conséquences du mariage précoce et la nécessité de la protection et promotion des droits des femmes et des filles, les statistiques du Mali 4e pays avec prévalence la plus élevée au monde, avec 55% de filles mariées avant 18 ans prouvent à suffisance l’impérieuse nécessité d’agir de façon concertée. Au regard du caractère multidimensionnel de la lutte contre le mariage précoces, l’insuffisance d’informations de qualité des communautés, la non implication effective des femmes, des leaders religieux, coutumiersdans les stratégies et approches de lutte. C’est pourquoi la lutte contre le mariage précoce renvoie l’application de la théorie des 3 C concertation, coordination et complémentarité qui crée la synergie d’action recherchée gage de la durabilité des actions. Elle implique la gestion du partenariat qui se matérialise par la signature de protocoles de partenariat qui définissent les rôles et responsabilités de chaque partie prenante pour l’atteinte des objectifs communs et cela dans le respect réciproque de l’identité et des valeurs des différents acteurs. La communication, la transparence, la participation et l’apprentissage mutuel restent le socle de la synergie d’action entre les acteurs dans le cadre d’un partenariat dynamique.
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nous tenons a former et utiliser les volontaires pour y parvenir a bout a l aide des emission a la radio; sensibilisation de porte a porte par les animateurs ect pour mettre fin aux fleaux qui se trouvent:
- Communautés villageoises, OCB, les couches vulnérables (enfants, femmes, handicaps), -
- les structures communales, les services déconcentrés de l’Etat - l’administration publique.
- Total bénéficiaires: 98381 dont 51158 femmes et 13775 enfants de 1 à 4 ans
ormer les
- Women & Girls
- Pregnant Women
- Children & Adolescents
- Poor
- Refugees & Internally Displaced Persons
- Communautés villageoises, OCB, les couches vulnérables (enfants, femmes, handicaps), -
- les structures communales, les services déconcentrés de l’Etat - l’administration publique.
- Total bénéficiaires: 98381 dont 51158 femmes et 13775 enfants de 1 à 4 ans
- Femmes/fillesappartenantà desgroupes autochtones/ethniques,
- les filles(jusqu’à9ans)
- Adolescentes(de10à 19ans)
- Jeunesfemmes(de20à 24ans)
- Femmesadultes
- Femmeset/oufillesengénéral
- Femmeset/oufillessurvivantesà la violence faite aux femmes
Contribuer à promouvoir à travers l’approche participative par ciblage l’autopromotion des communautés les plus défavorisées notamment les femmes, les enfants, les producteurs/trices et cela par la mise en œuvre des mesures favorisant leur l’accès aux services sociaux de base.
- Accroître la participation des populations rurales en république du Mali aux actions de développement
- Améliorer les capacités techniques d’analyses et de gestion des populations et agents de terrain pour permettre la conception et la mise en œuvre d’actions durables
- Améliorer la participation de la femme au processus d’analyse et de prise de décision pour des actions de développement
- Renforcer la capacité d’autopromotion du groupe-cible
Le mariage est une institution légale connue de toutes les communautés au Mali et dans la sous-région Ouest Africaine. Le mariage par essence est un sacrilège, un acte de cohésion sociale, contracté par communautés qui le célèbre soit par des rites ancestrales ou religieux ignorant de fait l‘avis ou l'âge de la fille; d’où son caractère forcé ou précoce résultant d’une violation des droits humains spécifiquement ceux de l’enfant et de la fille entrainant des effets pervers sur le développement de la femme. La pratique du mariage précoce, forcé reste d’actualité dans notre société.
De toutes les études et analyses sur les causes profondes du mariage, nous notons entre autres celles liées (1) les causes socioculturelles, (renforcement des liens de parenté, d’amitié et de voisinage, la sauvegarde de la virginité de la fille et l’honneur de la famille, la légitimation de la grossesse hors mariage, la pratique religieuse en particulier celles musulmane qui « encourageraient » le mariage dès l’apparition dès les premières règles, (2) la pauvreté, marquée par le besoin de disposer de la main d’œuvre (la femme étant considérée comme une ressource exploitable), le désir effréné de disposer de moyens matériels et financiers; et surtout la préservation du cercle de richesse familiale, (3) la sécurité, la triple crise qu’a connu le Mali en 2012 (alimentaire, institutionnelle et surtout sécuritaire) a conduit l’ensemble des populations des zones occupées à la dégradation des mœurs sous toutes ses formes.
Les stratégies utilisées sont celles participatives et communautaires qui mettent les bénéficiaires au centre des activités depuis l’identification des besoins, l’exécution et l’évaluation. L’approche impliquera les groupes communautaires les jeunes, les hommes, les leaders, les élus locaux qui participent aux côtés des femmes et des filles à la mise en œuvre des activités
Aussi sur la base de la participation, de l’apprentissage mutuel, la mise en relation, les différents acteurs parviendront à dégager des solutions consensuelles pour l’atteinte des résultats escomptés. Les actions de plaidoyer, de counseling, surtout de renforcement de capacités organisationnelles; institutionnelles des comités de veilles au niveau village et commune contribueront à libérer le potentiel des femmes, des filles qui seront désormais les vraies actrices dans la défense de leurs droits et dans la lutte contre toutes formes de violences faites aux femmes,filles.
Les stratégies sont soutenues par les campagnes d'I EC et de plaidoyer, de mobilisation sociale, de renforcement de capacités sur les violences faites aux femmes et filles. En ciblant les élus locaux, les leaders communautaires, les groupements de femmes, de jeunes, les OCB (comités de veille), le projet contribuera à renforcer l’application des initiatives locales de protection des droits des femmes et des filles. Les mesures de plaidoyer participeront à une prise de conscience collective, individuelle des communautés sur la dimension genre. Elles permettront la prise en charge de la protection des droits des femmes et des filles dans les différents plans locaux de développement économique social et culturel (PDSEC) des communes partenaires.
- Nonprofit
NEANT
GADMali est structurée comme suit :
- Structure associative: 5 membres dont 2 femmes
- Structure professionnelle: 30 employés dont 14 femmes
- Style de gestion: DPO (Direction Participative par Objectif) qui responsabilise, donne plus d’autonomie à chaque responsable (coordinateur, superviseur) dans l’exécution technique et financière de ses activités.
Full time staff: 5 Personnes
Part-time staff: 15 personnes
CONTRACTONS: 10 personnes
bénévole: 40 PERSONNES
Pour la mise en œuvre de sa mission et de sa vision GADMALI a élaboré un certain nombre de stratégies. Elle part du principe que le groupe-cible est un partenaire avec lequel il faut réfléchir. Il ne donne la priorité à aucun domaine d’intervention. Il privilégie cependant le développement des capacités. Les animateurs de GADMALI donnent la priorité à la compréhension des attitudes et pratiques du groupe-cible afin de pouvoir mieux l’aider à : (1) - identifier les problèmes réels, (2) - collecter et classer les solutions envisageables, (3)- inventorier les ressources propres disponibles pour la mise en œuvre des solutions possibles, (4) - planifier les activités (5)- exécuter la solution retenue, évaluer.
La technique utilisée par les animateurs est celle qui consiste à : -partir des connaissances du groupe-cible et de la compréhension de ses attitudes et pratiques, - tenir compte du fait qu’un groupe-cible n’est pas toujours une entité homogène;
GADMali a tissé de fructueux rapports de collaboration avec les partenaires à travers la mise en œuvre des projets et programmes dans les différentes régions du Mali comme suit:
Partenariat avec MALI et ses partenaires: ECJ, MALI. VIVA GIRLS, PAM, UNICEF, ONU FEMMES, Plan International au Mali, -Care International au Mali, -SOLIDAGRO/Fonds belge de sécurité alimentaire, - Union Européenne/CONFED, -NEPAD/Coopération Espagnole, -AGETIER, - IPRO-REAGIR- GIZ, PASSIP- IAMANEH SUISSE, - Fondation Educo , -Fondation VAN DOORN, - ASDAP, Ambassade de France FSD
GADMALI est entre autres :
- membre fondateur du réseau sous-régional SADIO (Sécurité alimentaire, développement institutionnel et organisationnel, regroupant 5 pays de la sous-région Ouest africaine
- membre fondateur du réseau RESMA (Espoir Santé Mali), du réseau RONALS (réseau des ONG/associations de lutte contre le sida)
- membre du Groupe Pivot Santé/population et de la coordination des ONG de la 5ème région
- membre du cadre de concertation des projets et ONG de Bandiagara et du réseau des prestataires du cercle de Bandiagara
- Yeelen Bulon
Sa création découle de la volonté de ses membres fondateurs de répondre à l’exigence d’une ONG basée sur le terrain des opérations et capable d’intégrer les dynamiques des organisations de base paysannes et contribuer au développement humain durable des populations rurales.
Les activités menées et les réalisations entreprises dans une communauté ne deviendront des actions de développement à proprement parler qu’à partir du moment où elles sont prises
GAdmali dispose d’un certain nombre de valeurs dont le respect contribue en soit à un développement durable des communautés les plus défavorisées. Il s’agit de:
3.1. Vision du développement durable Le développement durable exige des politiques, des décisions et des changements au niveau mondial, national et local. Il est dont à clarifier à quel niveau, quelle question de développement doit être traitée et au mieux comment améliorer la cohérence entre
charge par les organes communautaires mis en place et aux capacités renforcées. Toutes les mesures de développement doivent être décidées de façon concertée avec les populations qui sont les parties prenantes. Pour avoir des populations entièrement responsables des décisions prises, les actions menées avec elles doivent être accompagnées d’activités destinées au développement des capacités. La démarche participative et communautaire d’intervention doit s’appuyer sur la concertation, la complémentarité, la cohérence, gage de la synergie avec les autres acteurs pour permettre un développement harmonieux et durable des communautés bénéficiaires
améliorer la cohérence entre les différents niveaux. De notre vision le développement durable va de pair avec la mondialisation la décentralisation, la bonne gouvernance.
- Organizations (B2B)
L'organisation fonction à l'aide des subventions, des financements des donateurs, bailleurs qui font des appels à la proposition des programmes, des projets, des offres et des grants. Elle reçoit des dons venant de leurs sympathisants à l'aide d'un système de recherche de fonds qu'elle a établit à son sein. Elle n'a pas de revenue cent pour cent capable de survenir à ses dépenses annuelle. trente pour cent de son budget est investi à ses emploies; 50 % est investi aux actives du projets, 20% est investi aux achats des matériaux,payement de location, entretien
Pendant les 12 derniers mois, l'organisation a reçu: 20000 usd COMME GRANT DE LA PART DE GAAS MALI POUR SA CAMPAGNE de lutte contre le travaux forcés des enfants de 1 an à 16 ans, 10000 USD de la part de ECJ Mali pour sa campagne de soutien aux déplacés des zones de conflits ( mopti , tombouctou, gao, kidal. 30000 USD de la part de ong agire pour sa campagne de soutien aux enfants des déplacés dans le domaine d’éducation santé; et alimentaire.
Pour la recherche de fond nous sommes dans le besoin de 100000 USD DE GRANT pour mener nos projets qui sont en cours de 2020 d'ici 2025 précisément en moi de décembre 2020.
NOUS sommes en urgence dans le domaine de la technologie ( ordinateurs, camera, logiciel; formation, des experts, des vehicule, moto, les bureaux, et tant d'autres matériels.
40000 USD EST LE FOND QUE NOUS CHERCHONS CETTE ANN2E POUR REALISER NOS PROJETS
nous demandons ce prix afin de venir au secours aux habitantes de 36 Villagepis a avoir leur autonomisation en luttant contre les violences faits aux femmes dont la situation suivantes:
Les jeunes de moins de 25 ans représentent 42 % de la population mondiale actuelle. La majorité d'entre eux vivent en Afrique, en Asie, en Amérique latine et dans les Caraïbes. En 2015, ces trois régions comptaient 2,8 milliards de personnes âgées de moins de 25 ans selon les Nations unies. En Afrique, 60 % de la population a moins de 25 ans. Cette population jeune qui constitue l’espoir pour l’amorce d’un développement durable est confrontée à d’énormes problèmes qui entravent son émergence et son autonomisation. Au nombre des problèmes nous citons le mariage précoce des filles qui constitue un réel frein à leur autonomisation. Au Mali, selon EDS V, 20% des filles maliennes sont mariées avant l’âge de 15ans et 50% avant l’âge de 18 ans ; 37% des femmes ont eu leur premier enfant avant l’âge de 18 ans ; 15% des décès maternels proviennent de chez les adolescentes. L’intervention ainsi proposée est une contribution de GADMALI aux efforts que gouvernement malien ne cesse de déployer avec ses partenaires au développement pour éradiquer les violences faites aux femmes et aux filles.
Au Mali, parmi toutes les formes de violences faites aux femmes et aux filles, le mariage précoce/forcé demeure la plus ancrée et cruelle du fait des conséquences néfastes qu’elle engendre.
- Solution technology
Leurs objectifs est de contribuer à promouvoir à travers l’approche participative par ciblage l’autopromotion des communautés les plus défavorisées notamment les femmes, les enfants, les producteurs/trices et cela par la mise en œuvre des mesures favorisant leur l’accès aux services sociaux de base.
- Accroître la participation des populations rurales en république du Mali aux actions de développement
- Améliorer les capacités techniques d’analyses et de gestion des populations et agents de terrain pour permettre la conception et la mise en œuvre d’actions durables
- Améliorer la participation de la femme au processus d’analyse et de prise de décision pour des actions de développement
- Renforcer la capacité d’autopromotion du groupe-cible
(la direction participative par objectif) qui responsabilise, donne plus d’autonomie à chaque responsable (coordinateur, superviseur) dans l’exécution technique et financière de ses activités
notre organisation cherche a etre partenaire avec n'importe quelle organisation nationale ou internationale poursuivant les mêmes objectifs, missions, vision philosophies que nous.