Restaurer et conserver les ressources

Monsieur. Vincent de paul NZALALEMBA MULOMBO (MAROCAIN)

Né le 05 avril 1966 Marié, 3 enfants Titulaire du permis de conduire ABC (véhicules, <3,5 T & Moto  2018-2019, Au sein du gi agro: Responsable Ressources Humaines, Sécurité, Coordinateur de projet: «PAC2A - Kin / ibi »avec L'ULB - Coopération.

2016 - 2017, Responsable de projet «Filière chikwangue» au sein de l'ong GI AGRO en partenariat avec l'ong espagnole CODESPA.

2013 - 2016, Chargé de la Commercialisation des produits agricoles paysans au sein dE L'ONG GI AGRO

2011 - 2013, Assistant à la coordination de l'ONG «Groupe d'Initiatives pour l'Agroforesterie en Afrique» à sigle, GI - Agro, qui mène des activités de lutte contre le réchauffement climatique, par le reboisement des savanes et la protection des régénération naturelle. Chargé de la commercialisation des produits agricoles pour les populations paysannes.

Les paysans au pourtour de la ville de kikwit sont toujours   à la recherche de revenus alternatifs. Cause de la déforestation inquiétante qui prend une allure néfaste pour l'environnement. Dans les habitudes, les miels des forêts sont récoltés de manière traditionnelle par les paysans. Il y a nécessité d'initier l'apiculture professionnelle. Celle-ci étant étroitement liée à la préservation des forêts, favorisera le maintien des écosystèmes au profit des paysans. L'apiculture qui va pouvoir réduire la pression sur les forêts offre les opportunités d'emplois pour les jeunes dans la filière allant de la production à la commercialisation des miels. La gestion environnementale des forêts villageoises a trouvé une amélioration par  la sensibilisation  effectuée visant à faireévoluer les pratiques  sur le brulis, l'élevage des abeilles et le respect sur l'application d'un plan d'aménagement dans le zonage identifié à l'exploitation étant équilibrée par des actions directement bénéficiaires aux populations locales (apiculture, écotourisme, éducat

La recherche de revenus alternatifs  pour leurs survivants amène les populations paysannes dans la coupe d'arbres pour la production des charbons de bois, source n'énergie. En ce moment, la déforestation s'accroît sur les étendues ne donnant aucune réserve aux écosystèmes de se développer. La vie des populations dans les villages devient horrible. Par conséquence, l'exode rural des jeunes vers les agglomérations urbaines à la recherche des emplois et du bien-être. Par ailleurs, les miels des forêts sont récoltés de manière traditionnelle. Actuellement la production de miel n'est pas satisfaisante pour le marché national.Les produits de cueillette sont souvent de qualité médiocre, vente ou additionnés de déchets, et ils sont destinés aux consommateurs peu exigeants, tandis que par ailleurs les collecteurs,Des «paysans»  qui vont prendre le miel dans les cavités des arbres ou de la roche. Cette  technique est destructrice  car elle a rencontré en péril la survie de la colonie entière, la privant de la totalité de ses réserves et, parfois, tuant accidentellement la reine. 

Développer le projet en 2ans,  Le projet va s'adresser à  une centaine d'apprentis apiculteurs concernés  au sein de  4 à 6 villages . Ils seront formés et accompagnés par 2 formateurs sur toute la durée du projet. Des artisans seront également entendus pour identifier 2 menuisiers qui prendront en charge la fabrication des ruches. Une partie de la production du miel sérums à la Destinée locale consommation, TANDIS Que sa commercialisation à l'extérieur des villages s'impliquera  un réseau de vente et des Constitué de centres alimentations - Qui will be les Villes Distributeurs .Ce projet Përmet d'Elaborer un plan ambitieux et raisonné de développement de l'apiculture dans les villages sur le pourtour Nord - Ouest de la ville de Kikwit, permettant d'avoir un impact fort et ciblé. Renforcer les forêts apicoles en reboisement des plantes mellifères et les mises en défens des forêts primaires en faveur de l'apiculture. Le projet est prévu de  janvier 2021 à décembre 2022  . Cette période laisse suffisamment de temps pour les anciens apiculteurs et permettre aux essaims de se développer dans les forêts apicoles en Jachères et Primaires. Une première petite miellée aura lieu en août 2021, et la première pleine miellée  mars 2022.

La population cible est estimée à 106, dont 46 hommes et 60 femmes en général agricultrices. Elle vive de l'agriculture de rente sur brûlis avec une production faible. Ce qui la mette toujours en situation de recherche de revenus alternatifs pour survire. L'apiculture est une activité génératrice des revenus et offre les opportunités d'autres emplois dans la filière. Avec un minimum de 50 ruches par agriculteur dont le minimum de la production est de 500 Kg en raison de 10kg / ruche peuplée. Le paysan aura à augmenter son revenu de 2.500 $ la miellée. Le miel vendu à 5 $ le Kg. Un chiffre d'affaire nullement obtenu dans l'agriculture en culture de tubercule de maniocs. Pendant la sensibilisation, ces éléments leur seront illustrés pour qu'ils adhèrent à la solution proposée. La filière va développer d ' autres activités dont l'apiculteur est au centre recevant les partenaires. Le menuisier fabriquant des ruches, les alimentations et les hôtels comme distributeurs de miels.

La  pauvreté   sévère aux niveaux paysans est le problème qui s'est rencontré en situation de recherche alternative financière. La  déforestation  pour la production des charbons est l'alternative pour ces paysans. Malheureusement, contribuant à la dégradation environnementale forestière avec les conséquences planète. Ces dimensions de problèmes que nous favorisons pour bénéficier du prix Elevate pour offrir les alternatives à la population notamment, l'  apiculture professionnelle    liée à la   préservation des ressources naturelles  . favorisant le développement des écosystèmes au profit des autres - mêmes et générations futures

La Plate - forme une expérience sur le plateau des Batekés où l'apiculture s'exerce à la satisfaction des visiteurs. Sur le site, les forêts sont préservées que ça soit les forêts naturelles ou artificielles. Les populations des villages au tour de la ville de Kikwit ayant vus, nous avons contactés pour dupliquer cette expérience chez - eux les forêts sont sous une pression avancée sur la déforestation. Et, ils sont encore dans le traditionnel en ce qui concerne la récolte de miel. Cette histoire il y a 2 ans. N'ayant pas les moyens financiers, nous leurs avions répondus négativement. Voilà qu'ils tiennent au projet, cette fois eux - mêmes nous présente cette offre pour que nous présentions le projet. Etant séparé du site de 510 Km, M. KINDEKO le représentant sont ici avec nous pour rédiger et présenter le projet. 

La passion de vivre déjà dans un environnement forestier ne me quitte jamais. Et, il est impérieux de soigner cet environnement, la bonne manière c'est de développer les activités génératrices des revenus pour aménager l'espace de vie. Par ailleurs, il y a la population qui dépend totalement des activités forestières pour survivre. Pour se faire, il est impérieux d'initier les activités de développement pour rentabiliser ces ressources naturelles, mais, pas de n'importe quelle manière, c'est avec un plan d'aménagement locataire compte des générations futures pendant que nous exploitons. Voilà, vous conviendrez avec moi que la stratégie de lutte contre la déforestation est de préserver la biodiversité avec l'apiculture. Elle a appris aux gens de parcourir les forêts pour prélever les arbres. En même temps, elle nous offre une opportunité économique, sociale et professionnelle. Son produit «le miel» a des valeurs sur le plan sanitaire et industriel. La filière développe d'autres opportunités d'emplois. Ce qui est favorable pour freiner l'exode rural de la jeunesse. Voilà ce qui nous motive de foncier dans le développement et l'implémentation de l'Apiculture à travers nos forêts villageoises.

 Part ma profession agent de développement, je suis bien amener à rédiger les projet. En plus de mon expérience dans la conception et la gestion des projets dans les ONGs me mets très à l'aise pour écrire les projets. Ceci ne veut pas dire que je ne peux pas apprendre s'il s'agit de remplir dans un formulaire voulu par le partenaire. Depuis 2005, je suis dans le monde des projets, chef de projet, coordinateur des activités du projet et voir même promoteur d'une Association Sans But lucratif. Je sais suivre le cycle de projet, définir les objectifs, les activités, les résultats et les indicateurs qui produisent de faire les évaluations mi - parcours ou de fin de projet. Ils permettent de constater les avancées ou retards en cours d'exécution d'un projet ou programme. Ci-dessous une partie de mon expérience. 2018-2019, Au sein du gi agro: Responsable Ressources Humaines, Coordinateur de projet: «PAC2A - Kin / ibi» avec L'ULB - Coopération. 2016 - 2017, Responsable de projet «Filière chikwangue» au sein de l'ong GI AGRO en partenariat avec l'ong espagnole CODESPA. 2013 - 2016, Chargé de la Commercialisation des produits agricoles paysans au sein de L'ONG GI AGRO 2011 - 2013, Assistant à la coordination de l'ONG «Groupe d'Initiatives pour l'Agroforesterie en Afrique» à sigle, GI - Agro , qui mène des activités de lutte contre le réchauffement climatique, par le reboisement des savanes et la protection des régénération naturelle. Chargé de la commercialisation des produits agricoles pour les populations paysannes.

Bien, comme vous le constaterez dans mon expérience ci-dessus, j'étais responsable de la filière chikwangue une pâte issue de tubercule de manioc. Une alimentation de base chez. Ce produit est une source de revenu pour les femmes paysannes. Au plateau des batekes les routes de déssertes agricoles sont impraticables. Les transporteurs y accèdent difficilement si non rien du tout. Le projet accompagne ces femmes à augmenter leurs revenus à travers ce produit la chikwangue. Pour que la femme gagne, elle doit en produire au moins 350pièces. A ce nombre, elle ne peut porter sur la tête pour aller vendre à plus de 25Km sur la piste où se trouve le marché ou le point de vente. Devant cette difficulté, j'ai initié un marché paysan dans le village au centre par rapport aux autres villages. Et, je négociais une fois par semaine, un grand véhicule qui peut accéder aux villages ramener les femmes avec leurs produits sur le site du marché. Cela à marcher pendant un temps. Les transporteurs n'acceptaient plus faire ces cours. J'ai finalement sollicité un véhicule spécialement pour le marché en faveur des femmes au bailleur de fonds qui la Fondation CODESPA

Vous constaterez sur mon expérience que mon dernier projet comme coordinateur des activités avec le projet " PAC2A - Kin", je n'avais que deux agents formateurs. J'ai conduits personnellement l'équipe pendant pendant la première année du projet. La seconde année, j'ai connu l'accident de circulation. L'équipe m'a manqué pendant 2 semaine, après malgré mon état d'handicap, j'organisais les réunions de travail, je planifiais les activités avec l'équipe et ils exécutaient sur terrain. Et, je suivais à distance la réalisation des activités, ils m'apportaient les données pour mes rapports jusqu'à la fin du projet.

Et, quand à ma responsabilité de président de PLAAIVE, handicapé par cette accident, avec le comité nous avons pu organiser nos réunions, nous avons obtenus les documents officiels nous autorisant de fonctionner tout en étant empêché physiquement. Je motivais chacun de bien jouer son rôle statutaire.

La

L'innovation ici vient dans la profession elle même de l'apiculteur. Les pratiques sont innovantes. Jamais l'élevage d'abeilles n'a existé dans ce contré. Utilisations de matériels pour l'élevage d'abeilles, les récoltes sont là les innovations pour les paysans. Les conditionnements des miels dans les bouteilles fermées avec le label unique indiquant l'origine de ce miel. Les techniques de préservation des ressources naturelles par activités apicoles sont là les innovations. D'autres innovations vont intervenir dans la transformation des miels en bombons, bougies, savons ...  

La théorie du changement sera remarquable à travers les personnes qui recherchent nos activités. Notamment le menuisier du coin sera formé à la fabrication des ruches. Les agriculteurs habitués à récolter les miels en petite quantité en tuant même les producteurs les abeilles avec le feu. Vont devoir être formé à élever les abeilles, s'habituer à l'agressivité des abeilles. Devenu apiculteurs ils ont à protéger les forêts, non à la coupe d'arbre, non aux feux de brousses. Par contre, ils ont trouvé l'alternative financière pour diversifier leurs sources de revenus

Actuellement PLAAIVE a 193 Apiculteurs dont 120 femmes et 73 hommes. Avec ce projet de l'année prochaine, 106 personnes seront bénéficiaires (60 femmes et 46 hommes) Nous envisageons dans les cinq prochaines années atteindre 1000 apiculteurs à travers 5 premières provinces de la rdc. Alors, en considérant les 1000 apiculteurs bénéficiaires directs, multiplier par 6 membres minimum / famille africaine, nous allons servir 6000 personnes dans les cinq prochaines années.

L'an 2019 nous avions produits une production globale de 1500Kg de miels avec un chiffre d'affaire de 4.352$, notre objectif à l'an 2020 est de produire 2400Kg de miels avec un chiffre d'affaire qui va à voisiner 15.793$ et dans les cinq prochaine années nous envisageons atteindre une production de plus de 10 tonnes de miels avec un chiffre d'affaire d'au moins 50.000$ en terme de la population apicultrice, nous allons bien atteindre 1000 personnes bien formées professionnellement.

La

La République Démocratique du Congo a les potentialités énormes des forêts apicoles. Seul grand obstacle pour réaliser les activités pour atteindre les objectifs est le manque d'appui financier. Parce qu'il va de formation en formation des nouveaux apiculteurs qui n'ont pas encore le métier et ils sont d'ailleurs géographiquement indépendante du siège de la plate - forme. Nous pouvons les former à titre volontaire, mais, il va falloir les doter en matériels apicoles.

Comme il est dit dans la vie, il faut savoir contourner les obstacles pour aller de l'avant. Pour ce projet, le manque de professionnalisme dans le chef de nos paysans dans la conservation des ressources naturelles, la production des miels et le manque de moyens financiers qui sont les obstacles pour nous à développer nos actions de durabilité sur notre environnement. Alors, pour résoudre cela, il y a deux solutions. Un savoir: 1. La formation , à titre volontaire, nous avons les experts qui sont parmi nos membres. Ces formations seront données pour professionnaliser les paysans par rapport au métier alternatif pour diversifier les sources de revenus. Il y a des informations sur l'importance de préserver les ressources naturelles qui passent par la sensibilisation. Malgré la volonté manifeste de nos membres d'aller initier les nouveaux apiculteurs, les subsides pour le fonctionnement, le déplacement et la ration fait défaut. 2. Il y a le manque des matériels apicoles. Nous pouvons bien former les gens, ils deviendront des professionnels si et seulement s'ils appliquent les notions sur le terrain. Cela nécessite les matériels apicoles que la PLAAIVE ne dispose pas. Voilà pourquoi devant ces obstacles, la PLAAIVE recours au partenariat pour réaliser ces besoins de terrain. Ainsi donc, avec le prix du programme Elevate, il sera question avant tout de fournir les matériels apicoles aux nouveaux formés, permettre le fonctionnement des agents de terrain

Toute à l'heure, nous avons parlé des experts en formation apicole. Ceux qui sont formateurs, nous sont fournis par notre partenaire GI - Agro qui est avec nous sur le même terrain d'action. Nous avons un partenariat d'accompagnement. C'est pratiquement notre mentor. Vous allez consulter le lien, www.gi agroonline pour en savoir plus. La PLAAIVE trouve son existence grâce aux partenaires  GI Agro, dont nous avons bénéficié des actions.  C'est depuis 2016, avec le programme «Synergie Nationale des Apiculteurs du Congo», SYNAPIC, en sigle en partenariat avec le GI Agro que nous avons reçu les formations des modules 0 et ils ont constitué pour chaque village une association des apiculteurs avec une reconnaissance restreinte au niveau de la commune. Ces associations regroupées dans une plaque - forme «PLAAIVE» avec une reconnaissance officielle élargie au niveau du Pays. C'est sous cette Plate - Forme que le partenariat continue avec le GI Agro chacune de structure gardant son autonomie statutaire et de gestion. Fin 2019, nous n'avons pas un programme ou projet d'ensemble.

La

PLAAIVE est une structure non lucrative de type Asbl. En tant que telle, elle se base sur le modèle totalement social. Nos activités sont limitées et justifiées pour la cause du social de nos membres et indirectement aux tiers. Conformément à nos statuts, nous intervenons au renforcement des capacités professionnelles de nos membres, pour l'instant dans les formations, appui aux matériels de productions avec nos partenaires, à la préservation des potentielles apicoles. Pour leur survie, la production est commercialisée avec une petite marge bénéficiaire leur permettant de vivre, le capital étant réservé pour la pérennité de son activité. Les cotisations questions de la production de chaque membre sont pour le fonctionnement de la plaque - forme et les associations.Mais aussi pour investir le moment venu dans le social. Notamment, école, centre de santé, aménagement de nos pistes de desserts agricoles… La population est satisfaite de nos actions parce qu'elles sont révélatrices d'alternatives à diversifier les sources de revenus d'abord et à lutter en même temps contre la déforestation qui ne pense pas aux générations futures et au maintien du développement de la biodiversité permettant la survie des écosystèmes. Cette population est aussi rassurée du développement économique, social et environnemental au vu des actions de bases qu'elle est entraîneur de poser pendant l'exploitation, contrairement à ce qu'elle faisait autrefois.

Notre gestion est comparative à celle d'une entreprise privée. Nous tirons attention aux recettes et aux charges dont les dépenses ne peuvent dépasser ce que nous encaissons. Notre équilibre doit être équilibré. Concrètement pour l'instant il y a les recettes issues des ventes de miels. Les charges liées aux traitements, le conditionnement des miels, les RH qui sont affectées à ce travail. Ces différentes charges ne peuvent pas pas engloutir nos recettes. Parce que nous devons économiser là-dessus pour les investissements futurs et amortis nos matériels. Une fois que nous avons reçu un appui pour la miellerie et les ruches, une gestion rigoureuse s'est imposée pour la pérennité sans dépendance. Alors, les subventions sont soumises à la même rigueur de gestion, parce qu'elle a été budgétisée par rapport à un besoin. Ce besoin réalisé, il doit devenir autonome s'il est une activité, un bien générateur de revenus. Pour un Don qui arrive, Sollicité ou de manière spontanée, il peut être en nature, en espèce. C'est la même rigueur à l'utilisation du Don en bon père de famille, la gestion comme bien générateur de revenus, nous ajoutons ici la transparence dans l'investissement croissant d'un Don en espèce. Cette transparence reste aussi à côté de la rigueur dans la gestion de toutes nos sources de revenus. Un rôle très fondamental que jouent nos contrôleurs. Une gestion sans contrôles extérieurs est nulle quel que soit la bonne volonté. Nous avons un système de contrôle indépendant du comité de gestion. 

Pour ce projet, nous n'avons pas vu nulle part ailleurs que seulement le programme Prix Elevate. Pour ce faire, voici la clé de répartition de nos dépenses en termes de chiffre et%

Budget global

202496,00  

● Kits apiculteurs et démarrage des activités - 11%

22 274,56  

● Formation et accompagnement des apiculteurs sur la durée du projet - 22%

44 549,12  

● Travail d'évaluation, d'enquêtes de terrain et de mesures d'impact - 5%

10 124,80  

● Extraction et conditionnement du miel - 18%

36 449,28  

● Promotion et vente du miel - 6%

12 149,76  

● Conception et Coordination du projet PLAAIVE - 5%

10 124,80  

● Frais administratifs et achats matériels annexes autant qu'à Kinshasa que sur le site à Kikwit - 7%

 14 174,72  

● Reboisement et mise en défens - 26%

  52648,96  

Total

    202.496,00  

Sur ce budget total du projet, la population va contribuer à 5%

Jusqu'ici nous n'avons pas lancé une recherche générale des fonds à différents bailleurs. Parce que le programme du prix Elevate peut subventionner l'ensemble des coûts du projet. A moins qu'il nous dit qu'il prend une partie et là nous allons lancer la recherche ailleurs en soustrayant la partie de la population de 5% et celle que le programme du prix Elevate va subventionner.Vous allez contater que le projet a un budget global de 202.496 £ = 226.795 $ La part des populations estimées en main d'œuvre est de 5% soit 10.124.08 £ soit 11.338 $. Faisant la soustraction, PLAAIVE sollicite une subvention de 192,38 £ = 215,456 $ au programme prix Elevate 2020.

Pendant la prévision, nous n'avions pas prévu de réaliser ce projet en 2020. Vous constaterez qu'il ne sera indiqué nulle part dans notre budget 2020 qui est essentiellement de nos recettes en ventes de miels. Ci-dessous cette prévision.

PREVISION EN RECETTE DE MIELS EN 2020

Unité en Kg

Qté Kg

CU $ / Kg

CT $

Kg

3600

7.27 $

26.172

Chiffre d'affaire annuel

26.172

DÉPENSES

Postes

Unir

Qté

CU $

CT $

Intendant gérant

Mois

12

150

1800

Agent commercial

Mois

12

250

3000

Déplacement

Mois

12

120

1440

S / HR totale

6240

Emballages et Etiquettes

Pots en plastique 1000 gr

pce

1000

0,75

750

Bidon 20 kg

pce

130

2

260

Pots Etiquettes

pce

1500

0,3

450

Etiquettes bidon

pce

200

0,3

60

S / Total emballages

1520

SUIVI ACTIVITES DE TERRAIN

Entretien moto

Mois

12

50

600

Frais de moto

Nombre

1

4000

4000

S / Total suivi activités terrain

 

 

 

4600

DEPLACEMENT MOTO

Gasoil

Litre / mois

12

25

300

Huile

Lite / Mois

12

16

192

S / Total Déplacement moto

 

492

Total des dépenses

 

12.852

Total Bénéfice

 

13,320

Amortissement

 

463

Total chiffre d'affaire

 

12.857

Premièrement, nous pensons bien répondre aux critères du prix Elevate et c'est possible que nous soyons sélectionnés parce que ce projet le mérite. Et aussi, il y a les avantages énormes qu'offre le Prix Elevate. Le plus important pour nous sommes «le service professionnel de gestion et de développement, mentorat et coaching, formation pédagogique, renforcement des capacités et de la connexion avec des influenceurs, des leaders de l'industrie et des experts grâce au programme de deux ans de la Fondation Elevate Prize Foundation. C'est très très important pour nous de bénéficier de ces avantages et faveurs pour la croissance professionnelle et dans la gestion conformément aux souhaits des nombreux bailleurs. Avec cet appui d'Elevate Fondation, ensemble nous allons résoudre ces problèmes de déforestation inquiétante qui ont lieu à la création des déserts, qui ont cherché au réchauffement climatique. Par ailleurs l'appui financier d'Elevate va pouvoir aider les paysans en quêtes d'alternative financière pour leur survie. Voilà l'offre d'Elevate qui développe l'Apiculture professionnelle comme alternative à la déforestation, pour diversifier les sources de revenus, luttant ainsi contre la pauvreté qui assiège ces paysans depuis des années. C'est par ce prix du programme Elevate 2020, que certains aspects du développement tant entendus par ces paysans va devoir se concrétiser à leurs bénéfices. Quoi dire de plus? 

1. PLAAIVE a 4 ans de vie depuis sa création. Mais, elle n'est qu'à sa première année comme structure autonome. Nous aurons besoin d'un accompagnement dans la gestion financière, la recherche et le développement.

2. PLAAIVE a une visibilité sur ces actions de terrain mais, peu visible en face du monde. Il va falloir créer un site web, avoir non conseillé en marketing. Aussi pour développer nos activités ailleurs et sur place. La recherche des financements et du partenariat est nécessaire. Si ça peut se faire avec la Fondation Elevate, ce serait intéressant.

3. Domaines choisis nécessites: Modèle de financement et de revenus, Mantorat / ou coaching, Contrôle et évaluation et Marketing, médias et exposition tous sont nécessaires pour la stabilité et la croissance de PLAAIVE. Parce qu'il nous faut présenter une comptabilité digne, avoir une visibilité face au monde par le numérique.

Par rapport à la gestion financière, nous aimerions nous associer avec un fiduciaire pour la comptabilité et le soutien financier. Il aura à effectuer la vérification éligible des pièces comptables, les aspects taxes et impôts à l'état et les autres tâches liées aux finances. En ce qui concerne les aspects de visibilité de nos activités, il y a «  l'Espace Vert  » un magazine de presse spécialisé aux activités de l'environnement. Nous allons nous associer à elle pour les articles de presse, les documentaires sur les réalisations de terrain et s'occuper des aspects médiatiques. Et, notre partenaire technique local «le Gi Agro» pour les renforcements des capacités professionnelles en assurant les formations.